Qu’est-ce qu’une cigarette électronique à capsule ? L’e-cigarette fine, légère et pratique

Depuis la naissance de la vape, deux réflexions reviennent souvent : le célèbre « c’est compliqué » et le fameux « c’est trop gros ». Les e-cigarettes à capsule balaient d’un revers de main ces deux idées reçues.

« C’EST COMPLIQUÉ »… UNE CIGARETTE ÉLECTRONIQUE FACILE D’UTILISATION !

Quand les premières cigarettes électroniques sont apparues, différents modèles se bousculaient sur le marché. On avait une batterie, qui ne se chargeait pas par USB, un clearomiseur qui se remplissait par le bas, ce qui impliquait de nombreux dévissages. L’autonomie n’était pas vraiment au rendez-vous, il fallait souvent deux ou trois batteries par jour et les fuites étaient légion. Techniquement, depuis, les choses n’ont pas tellement changé. On doit toujours veiller à ce qu’une batterie soit pleine et il faut charger un réservoir. Mais nous avons gagné en praticité, énormément. Néanmoins, « C’est compliqué » subsiste encore et toujours. Inévitablement. Pourquoi ? Parce que les nouveaux arrivants dans la vape ne comparent pas la cigarette électronique de 2019 à la cigarette électronique de 2015 mais à la cigarette réelle. Et il faut bien admettre qu’il ne faut pas de grandes études pour ouvrir un paquet et allumer une cigarette.

Mais la solution est là : les cigarettes élétroniques facile d’utilisation. Là, franchement, pour ne pas y arriver, il faut être d’une totale mauvaise volonté ! Nul besoin d’avoir une fiole, dévisser un clearomiseur. La capsule remplace à la fois le clearomiseur, la résistance et la fiole d’e-liquide. Quand le réservoir est vide, on change la capsule qui s’insère dans la partie batterie. Montre en main, deux secondes et demie.

« C’EST TROP GROS »… UNE CIGARETTE ÉLECTRONIQUE FINE ET LÉGÈRE !

Depuis l’arrivée des e-cigarettes, on peut parler d’une escalade si on évoque la taille du matériel. Les premières batteries avaient un peu près le même diamètre que les e-cigarettes. Aujourd’hui, on peut se procurer des box à quatre accus. Dans la poche, entre 400 et 500 grammes ! Alors quand on voit des mastodontes de ce genre, oui, le « C’est trop gros » n’est pas totalement farfelu.

C’est d’ailleurs à peu près à ce moment-là que sont apparues les cigarettes électroniques fines à capsule, le contrepied total aux modèles imposants. Parfois un peu plus longues, parfois légèrement plus larges, on reste sur un encombrement très acceptable. Il ne faut pas oublier qu’un fumeur transporte non pas une cigarette mais un paquet, et un briquet ou des allumettes. On peut donc parler de miniaturisation avec ce matériel.

Mais quid de l’autonomie ? L’autonomie d’une batterie est proportionnelle à son encombrement. Cela signifie donc que ce matériel ne passe pas la journée ? Disons que c’est un peu plus subtil. Dans les capsules, on peut avoir deux possibilités : la présence de nicotine ou de sels de nicotine. Dans le premier cas, tout fonctionne comme avec une cigarette traditionnelle. Dans le second, le « hit » est beaucoup moins présent mais cela répond quand même à la demande de l’utilisateur avec un taux de nicotine suffisamment élevé pour pondérer le nombre d’aspirations. Le taux de sels de nicotine est souvent de 20mg ou 1.6% et chez certaines marques on ne trouve pas de capsules avec de la nicotine traditionnelle. Impossible dans ce cas de vouloir réduire son taux de nicotine. Chez blu, en revanche, les capsules peuvent contenir de la nicotine ou des sels de nicotine et on trouve plusieurs dosages. De quoi parfaitement gérer sa consommation. La cigarette électronique myblu propose dans ses capsules (et dans ses fioles aussi d’ailleurs) des e-liquides aux normes de qualité particulièrement strictes issus d’arômes de qualité alimentaire et sans alcool__.

Il est donc possible de choisir la capsule qui convient à l’utilisateur, qu’il s’agisse du choix entre nicotine et son dosage et les sels de nicotine, si on opte pour la gamme myblu, évidemment.