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3 Juillet 2023

Cigarette électronique et voyage en avion, aux quatre coins du monde

Cigarette électronique et voyage en avion aux quatre coins du monde

Vos valises sont prêtes, les bagages bien fermés ? Que vous partiez à quelques centaines ou à plusieurs milliers de kilomètres, en avion ou en trottinette, n’oubliez pas votre cigarette électronique en voyage ! Voici une sélection de destinations vape-friendly pour emporter votre e-cigarette en vacances.

Cigarette électronique et avion, que peut-on faire ?

Avant toute chose… Peut-on prendre l’avion avec sa cigarette électronique ? Bien entendu, la cigarette électronique est autorisée en avion ; au transport bien évidemment, pas à l’utilisation ! Il fut un temps, pas si lointain, où la cigarette électronique était tolérée à l’utilisation, vapoter en avion était donc possible dans certains pays et sur certaines compagnies, ce n’est plus le cas. Les avions étant considérés comme des espaces publics confinés, il est difficile d’éviter d’être exposé à la vapeur d’une e-cigarette si vous ne le souhaitez pas. Dans de telles circonstances, vapoter est donc interdit. De plus, vapoter représente un risque potentiel pour la sécurité des avions car certains appareils qui produisent beaucoup de vapeur peuvent déclencher les détecteurs de fumée situés dans les toilettes à bord.

Par contre, si le transport de la cigarette électronique était interdit en avion, il faudrait légitimement interdire également un nombre incroyable d’appareils électroniques comme les smartphones, les consoles et ordinateurs portables, les groupes électrogènes et c’est toujours dommage de ne pas pouvoir se déplacer sans son propre groupe électrogène. En cas de crash sur une île déserte, c’est pratique. Mais revenons à nos moutons.

Menthol BAN V3

Avec ses 90 millions de visiteurs annuels, la France est la première destination touristique au monde. Les vapoteurs y sont bien servis : à l’exception des transports en commun, on peut vapoter dans tous les lieux accueillant du public, sauf avis contraire de la direction. Cocorico bien mérité aussi côté e-liquides, qui tiennent en France le haut de l’affiche. De la gastronomie à la mixologie il n’y a qu’un pas, que les fabricants franchissent allègrement. Les visiteurs du troisième marché au monde se régaleront de saveurs subtiles, réputées pour leur qualité, disponibles dans près de 3000 boutiques spécialisées et auprès de dizaines de milliers de buralistes.

Direction l’aéroport de Roissy, peut-être sur un vol Air France, avec ses bagages et sa cigarette électronique pour faire un saut de puce à destination d’Heathrow pour un voyage en avion qui ne prendra même pas une heure.

Car s’il est une destination où les vapoteurs sont accueillis à bras ouverts, c’est bien l’Angleterre. Les autorités soutiennent officiellement la vape, au point que durant le Stoptober – le mois sans tabac local, qui se déroule chaque année en octobre –, les fumeurs sont officiellement invités à « switcher ». En matière d’e-liquides, les inventeurs des incontournables Red Astaire et Snake Oil débordent de créativité. Classiques profonds, gourmands épicés ou acidulés, fruités légèrement twistés… les e-liquides anglais réservent toujours des surprises et sont eux aussi réputés pour leur grande qualité.

Attention cependant : la sécurité dans les aéroports est si stricte que tous les appareils électroniques sont soumis à un contrôle de sécurité avant qu’ils ne soient autorisés à bord. Si les réglementations varient d’un pays à l’autre, le Royaume-Uni et les États-Unis ont introduit, il y a quelques années, des contrôles de sécurité supplémentaires sur les produits électroniques. Ils précisent que tous les appareils doivent être suffisamment chargés pour pouvoir être allumés. Les appareils déchargés ne sont ainsi plus acceptés à bord des avions. Et les vaporisateurs ne dérogent pas à cette règle.

Cigarette electronique avion cabine - blu

Cigarette électronique en avion, quelles sont les destinations à éviter ?

Le vol en avion d’Heathrow aux USA est un peu plus long et on espère pour vous que les films diffusés seront de qualité !

Aux États-Unis, le statut de la vape varie en fonction des États, et les plus grandes villes ne sont pas forcément les plus vape-friendly. Donc, avant de prendre l’avion aux USA avec sa cigarette électronique, mieux vaut se renseigner sur chaque destination interne. Exit New York, Washington, Los Angeles et Philadelphie ! Privilégiez plutôt l’Ouest sauvage et le Sud, Las Vegas, Miami ou La Nouvelle-Orléans. Vous y dégusterez des menthes puissantes et des jus gourmands ou crémeux – les Américains en sont les grands spécialistes. Conçues outre-Atlantique, les saveurs blu vous feront voyager comme par magie. Myrtille, Cerise gourmande, Crème classique ou Bourbon caramel… vous avez le choix !

Allez, on reprend l’avion pour un bilan carbone qui commence à s’alourdir. La plupart des pays d’Asie prohibent l’usage de l’e-cigarette. En Thaïlande, par exemple, qui accueille 40 millions de touristes chaque année, on peut entrer sur le territoire avec son matériel, mais mieux vaut se montrer discret pour vapoter, sous peine d’amende salée… En Indonésie, notamment à Bali, on vibre en revanche pour les saveurs fruitées twistées de fraîcheur et pour les custards légères. Quant à la Chine, elle n’est pas le berceau de l’e-cigarette pour rien : dans l’Empire du milieu, vapoter est de plus en plus populaire, c’est même en train de devenir une tendance de fond.

Pays où la vape est autorisée - cigarette electronique en avion - blu

Cigarette électronique dans l’avion, quelles sont les limites de l’e-liquide ?

Les vapoteurs organisés n’oublieront ni leur chargeur ni leur adaptateur, leurs résistances de rechange et leur flacon d’e-liquide préféré, scellé et muni d’un bouchon de sécurité, avant de s’initier aux saveurs locales. Ceux qui voyagent dans l'avion avec leur cigarette électronique emporteront leur matériel en bagage à main en cabine, emballé dans une pochette plastique : les flacons et les batteries au lithium ne sont en effet pas autorisés en soute. Pendant le trajet, à cause des changements de pression, attention aux fuites ! La même quantité de liquides occupera plus de place. Résultat, il y a souvent des fuites d’e-liquide de cigarette électronique en avion. Deux solutions s’imposent alors. La première, c’est de signifier au commandant de bord qu’il faudrait qu’il vole en rase-mottes pour éviter cette déconvenue. Une demande à laquelle il ne répond que rarement positivement. Seconde solution, plus réaliste… Si vous vapotez jusqu’en salle d’embarquement, pensez à ne pas remplir votre clearomiseur à fond, à dévisser légèrement le pas de vis pour conserver l’étanchéité et à placer votre e-cigarette la tête en haut (pour les top coil) ou en bas (pour les résistances bottom coil) afin de libérer les mèches. Reste à savoir ce que vous pouvez prendre avec vous. Qu’il s’agisse d’une blu 2.0 ou d’une cigarette électronique type usine à vapeur, cela revient à peu près au même ; c’est une cigarette électronique et vous allez prendre l’avion avec, ainsi que des e-liquides, en bagage cabine ou en soute. Au niveau des e-liquides, que ce soit sans nicotine ou du 20mg, cela revient à peu près au même aussi. Dans certains pays, les douaniers sont désormais équipés de détecteur de nicotine : inutile donc d’essayer de mettre un e-liquide nicotiné dans une fiole estampillée 0 mg de nicotine. Les douaniers australiens par exemple sont équipés de ce genre de dispositif. En revanche, au niveau de la quantité, ce n’est pas la même chose. Combien d’e-liquide pour cigarette électronique ? Une fiole ne doit pas excéder les 100ml et vous ne pouvez pas embarquer plus d’un litre au total. Admettons-le, c’est assez confortable ! Cela permet de faire un tour du monde en avion tranquillement ! La cigarette électronique n’est donc pas interdite mais mieux vaut savoir ce qu’il faut mettre en soute ou en cabine bien avant de prendre son vol.

Avec les règlements qui changent en permanence, la prudence reste donc le meilleur conseil. Si vous n’êtes pas sûr des règles de la compagnie aérienne sur laquelle vous volez ou de l’aéroport où vous prenez votre avion, il est préférable de vous renseigner et de clarifier la situation auprès d’un membre du personnel. Ou, pour être complètement sûr, vous pouvez utiliser un vaporisateur jetable, vapoter avant de vous rendre à l’aéroport et vous en séparer en arrivant.