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14 Avril 2023

Les différents modèles de cigarette électronique

Les différents types de cigarette électronique

Quand un vapoteur croise un autre vapoteur, il ne lui adresse pas nécessairement la parole pour parler de vape. Non, il regarde le matériel de l’autre. Et s’il s’avère que c’est le même matériel, il peut y avoir un petit sourire comme deux motards qui se croiseraient en se faisant signe. Mais les types de cigarette électronique sont nombreux…

LA DISCRÈTE

Il y a quelques années, il n’y avait que des cigarettes électroniques de taille modeste et on avait à peu près le choix entre deux ou trois marques. Depuis, il est possible de vaper sur des très petits modèles, ou des très gros. Les e-cigarettes de taille raisonnable existent encore mais elles se sont vraiment perfectionnées et ont surtout gagné en fiabilité.

Les plus petites cigarettes électroniques sont ce que l’on appelle les pods. Elles ont à peu près la taille d’une clé USB, n’ont donc pas beaucoup d’autonomie. Pas besoin de prendre un grand nombre d’aspirations pour se satisfaire. C’est l’efficacité qui prime. Pour une extrême simplicité, on utilise un système à capsules, comme blu 2.0, d’autant plus pratiques qu’elles sont adaptées aux sels de nicotine.

DU PLUS PETIT AU PLUS GROS

Mais les pods peuvent aussi avoir leurs limites. L’intérêt de cette discrétion peut aussi être un inconvénient. On peut en effet passer pas mal de temps à le chercher ! Si on est un peu tête en l’air, on peut partir sur un modèle qui se cachera un peu moins. Ce type de cigarette électronique reste cependant assez léger mais il est déconseillé d’utiliser ces cigarettes électroniques avec des sels de nicotine.

En termes de puissance, on trouve de tout dans la cigarette électronique. Les résistances proposées sont souvent sous la barre d’un ohm, 0.6 (plus le chiffre est bas, plus le dispositif sera puissant). Le format est un peu plus imposant, la batterie propose plus d’autonomie. Là, les sels de nicotine sont à proscrire car ça commence à générer beaucoup de vapeur, donc vaporiser plus de nicotine. Très souvent, on est sur de l’aspiration directe, on ne temporise pas dans la bouche la vapeur, on prend en direct dans les poumons comme si l’on respirait. Ces modèles restent cependant dans le raisonnable.

LES POIDS LOURDS

Viennent ensuite des modèles qui sont volumineux, à piles interchangeables – les accus – accompagnés de clearos qui font énormément de vapeurs, par exemple tout la série des TFV8 de chez SMOK ou le SKRR chez Vaporesso. Ici, les résistances sont extrêmement basses, pour générer énormément de vapeur. Cela concerne une toute petite population de vapoteurs, moins de 5%. Ce genre de matériel n’est jamais un premier achat, on ne vape pas directement sur des machines de la sorte. La vape est obligatoirement en aspiration directe et la puissance au-delà des 40 watts (la puissance est toujours modulable).

Pour terminer, il existe aussi différentes cigarettes électroniques que l’on appelle les reconstructibles. Pour schématiser, c’est similaire à ce qui vient d’être décrit mais avec la possibilité de fabriquer soi-même sa résistance. Comme le dit Jean Volfoni dans les tontons flingueurs, « Les tâches ménagères ne sont pas sans noblesse » ; et effectivement, réaliser soi-même sa résistance, c’est une tâche et c’est très noble. Il faut cependant avoir de la patience et de la dextérité pour réaliser un fil résistif très régulier, symétrique et poser la bonne quantité de coton. C’est fastidieux mais à l’arrivée, on a exactement la vape désirée.

Du petit pod au reconstructible, c’est une très, très grande famille de cigarette électronique qui existe. Et si cette famille est si grande, c’est pour que chacun s’y retrouve.